Aujourd'hui a été une journée compliquée. 22 élèves dont 2 enfants MDPH et toute seule toute la matinée. Du coup ça a été très compliqué de trouver quelques minutes pour une attention conjointe.

Je pense que c'est tout de même un bon exercice car on doit mettre en place des stratégies pour que les enfants se débrouillent.

Les deux coins les plus durs. La peinture car les enfants ont besoin d'aide pour scotcher leur feuille et enfiler leur tablier. Les jeux d'eau que j'ai failli fermer mais non, il n'en ai pas question vu l'attrait que ces activités ont sur les enfants c'est que c'est le bon moment. Alors j'ai la serpillère et le sceau près a être dégainés.

Tous les élèves adorent laver une table laver, le bébé. le coin des jeux d'eau ne désemplit pas.

deux autres activités sont très prisées.

compter: nous avons un accroche perle jusqu'à 9 et toujours l’activité des barres rouges et bleues avec deux tapis.

Les lettres: j'ai investit dans l'alphabet de Céline Alvarez et elles sont aimantées en permanence au tableau. les enfants adorent écrire les mots et surtout les prénoms de la classe. Dès que les enfants possèdent quelques sons, on compose.

De plus en plus j'observe les enfants accepter d'attendre et en particulier quand je suis seule. ils attendent avec patience que je revienne finir ce que je leur montrai. Ceux qui viennent mettre leur main sur mon épaule apprennent à observer en silence ce que je montre.

La journée  a été bien fatigante, mais je suis heureuse d'avoir semer plein de petites graines d'intérêt. Depuis que je propose des activités challengeantes, je vois les moyens s’orienter vers des activités que je ne leur aurait pas proposées aussi tôt.  Je vois leur plaisir à faire ses activités de grands.

Aujourd’hui j'ai aussi commencé à apprendre et encourager les enfants à s'apprendre des choses mutuellement. dès qu'un enfant apprend quelque chose et que je vois qu’un autre enfant observait de loin j'invite l'enfant auquel j'ai appris la nouvelle chose à la partager avec cette enfant  observateur car souvent il meurt d’envie de le faire aussi.