• une classe autonome c'est quoi? travail des représentations

    Je souhaitais faire cet article parce que le jour où je me suis lancée dans la mise en place d'une classe dans laquelle les enfants sont autonomes, je ne savais pas à quel point j'allais devoir travailler la communication. 

    Le plus facile ce fut de présenter la chose aux enfants de la classe.

    Il y a maintenant 5 ans, pendant les vacances de la Toussaint je découvrais le site de Céline Alvarez. Il me semble qu'à l'époque ce n'était d'ailleurs même pas encore un site mais un blog. A l'époque j'avais des petits grands. il me semble que je devais avoir moitié de grands et moitié de petits. J'ai tout de suite compris l'urgence de mettre en place des activités qui développaient les compétences exécutives des petits.  J'avais donc mis en place un espace réservé aux petits avec des graines et autre activités vie pratique. ( je n'avais pas osé les jeux d'eau au début). Pour les grands  j'avais mis en place un grand meuble avec des jeux et activités qu'on pouvait faire seul ou à deux. Les activités étaient encore très didactiques mais je fus rapidement obligée d'ouvrir le coin des petits aux grands en manque de manipulation et en trois semaines je n'avais plus de temps d'atelier tellement l'engouement était grand pour les activités autonomes. Ce sont les enfants qui ont mis tout de suite le mot "activités" sur le travail Rapidement ils demandaient aller faire les activités.

    Il m'a alors fallu envisager d'expliquer cela aux parents. c'était une prise de risque importante. Je n'avais qu'un an d'ancienneté dans le niveau des grands et la première année que j'ai eu des grands après plus de 10 ans de petits, j'ai eu à faire à une classe des plus difficiles de ma carrière. Je ne pouvais pas me reposer sur mon expérience ni sur ma crédibilité. Je n'avais que mes convictions

    Je pense que ces premiers parents n'ont pas tout compris au début. Ils ne voyaient pas ce qui était fait en classe et leurs représentations de l'école n'étaient pas aussi claires qu'on pourrait le croire en tant qu'enseignants.

    Par la suite j'ai eu deux types de réactions qui ont été parfois douloureuses je l'avoue. Lorsque j'ai pris le risque de me lancer dans cette aventure c'était que j'étais convaincue mais je n'avais pas suffisamment pris la mesure des bouleversements que cela  pouvait engendrer du côté des parents. Je me suis donc vu devoir gérer une incompréhension totale du travail fait en classe allant jusqu’au rejet. Les parents me demandaient à la fin de l'année de changer leur enfant de classe pour réintégrer une classe "normale" . A l'inverse certains parents avaient entendu parlé de la classe et émettaient un fort désir que leur enfant rejoigne ma classe.

    Face à ces deux types de réactions, il me fallait apporter des réponses à court terme mais aussi à long terme et entamer une réflexion sur ces réactions. Une évidence est apparue il fallait que je communique mieux sur ce que je faisais en classe. 

    A court terme, il fallait apporter une réponse disons ethique et déontologique. Les parents ne choisissent pas les enseignants de leur enfant. c'est d'ailleurs un point que j'aborde à l'accueil des futurs petits. "c'est la première fois où vous ne choisirez pas la personne qui va s'occuper de votre enfant". Mais il faut travailler en bonne entente avec les parents. Il faut développer la confiance réciproque pour que cela fonctionne bien.

    Lorsqu'une famille désire faire sortir un enfant de ma classe je reçois toujours les parents afin de savoir pourquoi. Tous les parents que j'ai reçus ( 3 familles en 5 ans) souhaitaient que leur enfant change car ils avaient eu un frère ou une sœur aînée qui avait fait sa moyenne ou grande section dans une classe qu'ils appelaient " normale". C'est à dire où l'enfant est assis et travaille sur une fiche. Même si cela a été difficile, il a fallu entendre la crainte de ces parents de perdre le peu de repères dont ils disposaient ( le classeur qui retourne à la maison toutes les fins de périodes, les comptes rendus individuels des fiches réussies, le cahier de poésies et de chansons....) Je précise qu'à l'époque mes élèves repartaient avec leur carnet de réussites à chaque fin de période et je faisais un reportage photo sur les moments forts de la période. Mon entretien consistait à expliquer toutes les compétences qu'avaient acquis leur enfant. A la fin de l'entretien , je leur proposais de réfléchir et si il souhaitait maintenir ce changement de faire un lettre au conseil des maîtres. Pour ces trois familles le conseil des maîtres a débattu et les enfants ont intégré une autre classe de l'école. j'ai mis en place ce dispositif car je suis à la fois la directrice et la maitresse de ces enfants.

    Pour les parents qui font la demande d'intégration dans la classe. Si ce sont des parents qui ne sont pas de la commune, ce qui a déjà été le cas, je leur explique que l'école est ouverte aux enfants de la commune. Pour les parents qui font la demande à l'inscription, je leur explique qu'une classe est une mini communauté et que nous accordons une grande attention à la constitution des classes. Je refuse qu'une classe ou une autre soit étiquetée pour tel ou tel type d'enfants. IL faut des enfants différents dans toutes les classes. ainsi je note leur demande et si il est possible que cela se fasse alors l'enfant intègre ma classe avec la contrainte de devoir y rester 3 ans.

    A long terme il m'a fallu réfléchir à plusieurs choses: l'intégration d'enfants qui arrivent dans la classe en moyenne ou en grande section.  dois je prendre des enfants qui ont eu des frères et sœurs  dont les aînées n'auraient pas fréquentés ma classe, la communication avec les parents devaient être nettement améliorée.

    Pour la constitution des classes de manière générale je garde mes élèves pendant trois ans. lorsque nous constituons nos classes et que des enfants arrivent d'une autre classe de l'école je communique en amont avec les parents. Je présente la classe. pour les enfants qui arrivent  d'une autre école; j’insiste sur la présence à la réunion de rentrée.

    Pour la communication avec les parents, le confinement m'a donné de nombreuses pistes ( utilisation des diaporamas et d'une chaine youtube privée). Je n'ai pas de cahier à part le cahier d'écriture lorsque les enfants en ont un. Les enfants ramènent toujours leur travail le jour même pour le montrer à leur parent. ( dessin, coloriage, peinture, tissage, broderie, mot secrets lus, mot composer avec les tampons....) je ne fais pas de décoration de poésie et comptines. j'ai arrêté de faire des photocopies que les parents ne regardent pas. Je procède autrement. Cette classe est différente , la communication est donc différente.

    En début d'année j'envoie un diaporama aux parents pour présenter le classe et comment on y travaille. J'ai peu de parents qui viennent à la réunion de rentée. C'est un fait j'ai arrêtée de me prendre la tête sur ce point. mais je la maintiens. Lorsque la poésie est connue, j'envoie une vidéo de l'enfant qui récite sa poésie. Nous travaillons une à trois chansons par période. Lorsque les enfants ont plaisir à la chanter et qu'il la connaisse bien, j'envoie le lien youtube. et je préviens les enfants que j'ai envoyé la vidéo à leurs parents ( ceci est très important). A la fin de chaque semaine je partage les photos des réussites avec les parents. J'essaie de faire en sorte que chaque parent reçoive au moins une photo tous les 15 jours. Cela ne me prend pas plus d'une heure. En fin de période les parents reçoivent des diaporamas sur les thèmes travaillés et les histoires travaillées.

    Je fais ce travail depuis le début de l'année et j'ai vu des changements incontestables. Il y a un réel travail de collaboration entre les enfants, les parents et moi. Depuis quelques temps, les parents m'envoient des photos des puzzles réussis à la maison et ceci sur demande de leur enfant. Les enfants racontent plus ce qu'il font en classe. Je touche des parents qui ne regardaient même pas les carnets de réussites. Grâce à la chaine privée, je peux voir combien de parents regardent ce que j'ai préparé en diaporama et je touche plus de la moitié de la classe. L'implication des parents dans la vie scolaire de leur enfant a un impacte très important et je pense qu'en travaillant ainsi chacun y trouve son compte.

    Parlons maintenant des autres adultes de l'école. ATSEM, AVS, stagiaire et collègue qui ont entamée la démarche ou qui ne le feront pas.

    La première chose à accepter, c'est que même convaincue du bien fondé de la démarche, chacun évolue à son rythme et personne ne détient LA Vérité. Cette démarche fait appel à des représentations et des attentes très différentes en ce qui concerne les enfants. La première chose qui me frappe c'est que nombreux sont les adultes (même ceux qui ont travaillé dans ma classe) qui ne comprennent pas la place qu'il faut tenir. C'est un peu comme le concept du non agir complétement obscur pour les occidentaux.

    Dans la classe, les adultes sont perdus. Ils ont l'impression de ne servir à rien. Ils interviennent là où il faut laisser faire (par exemple lorsqu'un enfant veut essuyer ou nettoyer quelque chose)  et laissent faire là où il faut intervenir ( un enfant qui jette le matériel au lieu de le poser,qui ne s'assoit pas correctement ou qui changent sans arrêt d’activité).  Tout mon travail du moment consiste à réfléchir sur cet aspect. Je n'ai pas encore trouvé la solution. J'ai mis en place des règles écrites qui expliquent les attentes en matière d'attitudes des enfants. lorsqu'un adulte doit travailler dans la classe je lui demande d'être vigilant et de faire respecter ces règles.

    Ce qui est très compliqué, c'est que chaque corps de métier qui intervient à une vue cloisonnée de sa tâche et de ses missions. L'avs ne veut pas faire le travail de l'atsem, Elle considère que la gestion de l'autonomie incombe à l'atsem,  L''atsem se refuse de faire des présentations qu'elle considère être dévolues à la maitresse. mais se retrouve démunis par des enfants tellement autonomes qu'elle n'a plus besoin d'aider. Elle ne peut plus présenter d'atelier art plastique car les enfants sont invités à faire seul et à produire des choses à leur niveau et non plus dirigées. Je vous avoue que les atsem ne se battent pas pour travailler dans ma classe. Je n'arrive pas à les guider car leur donner des consignes strictes cela irait à l'encontre de la façon d'être avec les enfants. lorsque l'atsem est dans la classe j'essaie de lui dire en deux mots les enfants que je veux qu'elle accompagne. Cette année est particulière aussi et je ne peux pas réellement travailler avec une atsm à part celle de l'après midi qui est fixe. Le matin j'ai eu pas moins de 7 personnes différentes qui sont venus travailler avec moi sans compter les jours où je suis seule. mais c'est un autre problème qui n'est pas le sujet ici.

    J'ai essayé de présenter le matériel et les activités aux atsems et aux avs mais cela ne passe pas. J'ai eu la chance d’accueillir une jeune stagiaire que je remercie de sa sincérité. Elle a su mettre des mots sur ce que de nombreux adultes ressentent mais ne disent pas. Sa référente lui demande en entretien de bilan comment elle s'est sentie dans les deux classes de moyens grands. Cette jeune fille a su exprimer avec tact que les élèves de ma classe étaient bien plus calmes et concentrés que dans l'autre classe. Qu'ils étaient très autonomes et qu'elle les avaient vu se concentrer très longtemps mais qu'elle préférait travailler dans l'autre classe car elle se sentait utile. Je la remercie de ces propos car c'est ce point sur lequel il faut que je communique avec les adultes de la classe. J'ai donc l'intention de faire une sorte de mini guide de la classe. car ce qui est le plus important ce n'est pas ce que l'adulte fait mais comment il est en classe., l'attention qu'il porte à l'enfant, l'accompagnement. il faut que j'arrive à expliquer cela et que je change les représentations de leur "utilité" dans la classe.

    Enfin il reste les adultes qui ne pénètrent pas dans la classe ou très peu: les collègues. Il y a le regard qu'ont les collègues sur les élèves. Je peux vous dire que mes élèves sont difficiles et que je ne fais absolument pas le tri. j'ai d'ailleurs tendance à prendre les enfants atypiques, agités, et peu scolaires. Récemment, une de mes collègues m'a confié qu'elle pensait que  mes élèves  étaient plus faciles que les siens. Lorsqu'on travaille dans une école ou les enfants sont tous difficiles, l'équité est gage de relations apaisées Or ma classe n'est pas plus facile mais c'est un des effets de l'autonomie. il faut communiquer avec les collègues et échanger sur tout ce que l'on met en place pour développer les compétences exécutives et les compétences émotionnelles. Je passe beaucoup de temps à informer et partager sur les petits jeux que je mets en place, sur les règles positives, sur l'autonomie.... J'essaie aussi au maximum d'accompagner celles et ceux qui veulent commencer la démarche à leur façon; sans les brusquer. Quand on a pris beaucoup d'avance , il faut parfois laisser la personne faire ses tentatives même si on sait que cela ne va pas marcher et dans cet échange on découvre aussi de nouvelles idées. pour avancer.

    Voilà! j'avais à cœur de partager ces réflexions. Les joies et le bien être que je ressens de travailler ainsi effacent les difficultés que j'ai pu rencontrer et que je rencontre encore. Cependant, être un acteur du changement n'est pas facile tous les jours. Je remercie aussi toutes les personnes qui m'ont fait et me font confiance car certains jours ce sont ces personnes qui m'ont aidée à garder le cap.

     

     


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  • Commentaires

    1
    mabeille
    Samedi 26 Décembre 2020 à 19:29

    Bonsoir,

    Merci pour vos réflexions. J'ai aussi eu une stagiaire tout le mois de décembre. Elle m'a aussi dit qu'elle avait l'impression de ne pas être "avec" les enfants, mais "à côté", de passer beaucoup de temps à les regarder... Je lui ai rappelé sa grande importance d'être présente à côté d'un enfant pour qu'il termine son coloriage, son puzzle, se lave les mains soigneusement sans jouer avec l'eau. Elle était contente de son stage mais elle semble un peu déroutée. J'aurai une autre stagiaire pendant 3 semaines en janvier et je pense aussi rédiger un petit récapitulatif de ce que j'attends d'elle, en terme de posture. Bonnes fêtes de fin d'année.

    2
    Dimanche 27 Décembre 2020 à 13:17

    Merci pour votre partage. Je vais me pencher sur le sujet très prochainement. N'hésitez pas à partager vos réflexions sur le sujet. Je pense que c'est un point important à travailler

     

    3
    mabeille
    Dimanche 27 Décembre 2020 à 19:23

    J'ai pris le temps de rédiger ça, si ça t'intéresse:

    Protocole stagiaire

     

    Bienvenue à l’école Paul Eluard !

     

     

    Voici quelques précisions sur le fonctionnement de la classe et sur mes attentes envers toi. J’espère qu’elles te permettront d’être plus à l’aise, de prendre des initiatives, de demander de l’aide ou des précisions si besoin.

     

     

     

    Présenter dès le premier jour du stage:

    - le tableau d’évaluation de fin de stage aux 2 tuteurs

    - les attentes de la part de l’école du stagiaire (compte-rendu de stage). Poser des questions aux tuteurs (pendant les récréations ou après la classe) au fur et à mesure du déroulement du stage et de la rédaction du compte-rendu de stage. Le stage terminé, je ne donnerai plus de réponses.

     

     

     

    Préparation du matin :

    - dire bonjour à tous les adultes de l’école

    - chaussons + se laver les mains +masque en entrant dans les locaux

    - mouiller les éponges

    - installer les étiquettes de présence

    - ouvrir les volets /aérer si cela n’a pas été fait

     

     

    A l’accueil des enfants :

    - rester dans la classe, dire bonjour aux enfants, les observer dans leurs activités

    - activités possibles : lecture d’albums, présence pour terminer un puzzle ou un coloriage (tu peux lui montrer comment faire, c’est ensuite à l’enfant de faire seul, jusqu’au bout)

    - prendre en photo, les enfants en activité

    - prendre des pochettes de vocabulaire (bac près du tableau) pour nommer les photos avec les enfants. Poser les photos une à une sur une table ou un tapis, de la gauche vers la droite, de haut en bas, en laissant l’enfant dire le nom de l’image ou en lui disant (mot écrit au dos de l’image)

     

     

    Attitude en classe :

    - parler doucement en classe et dans le couloir

    - marcher dans la classe

    - tirer sa chaise à deux mains, en silence, pour s’assoir.

    - ranger sa chaise à deux mains, en silence,  systématiquement quand on quitte sa place

    - dire aux enfants « Parle plus doucement pour que les autres enfants puissent se concentrer. »

                                     « Prends le plateau à deux mains, en le tenant dessous. »

                                      « Tu te rappelles comment ranger/tirer la chaise en silence ? »

     « Les pièces de ton activité doivent rester sur le tapis et toi tu t’assoies à côté du tapis. »

    « Tu termines ton activité avant de la ranger. Tu la ranges avant d’en prendre une autre. »

     

     

    Sortie de classe :

    - s’installer près des lavabos pour veiller au bon lavage des mains par les enfants:

    Ø  suivre toutes les étapes du lavage des mains indiqué sur l’affichage

    Ø  prendre 1 seule pression du savon

    Ø  prendre 2 papiers pour s’essuyer

    Ø  serrer les papiers utilisés en boule, avant de les jeter à la poubelle

    Ø  vérifier que les manches, surtout des PS, soient sèches. Sinon prévenir un autre adulte que tel enfant doit se changer.

    - les enseignantes et l’ATSEM s’occupent principalement de l’habillage/passage aux toilettes

    - Pour info, si besoin, ordre pour la sortie des enfants :

    Ø  enlever les chaussons, les poser sur le banc côte à côte, enfiler les chaussures

    Ø  passer aux toilettes, s’essuyer les fesses, tirer la chasse d’eau et éteindre la lumière

    Ø  se laver les mains

    Ø  enfiler ses manteaux, gants, bonnets, écharpes devant son porte manteau

    Ø  se ranger sur la ligne bleue, en file indienne

     

    Pendant la récréation et les moments de regroupement:

    - demander à l’ATSEM s’il y a des préparations à faire.

     

    Entrée en classe :

    - Enlever son manteau et le ranger dans le sac cabas.

    - Enlever ses chaussures, les ranger sous le banc

    - Enfiler ses chaussons

    - Passer aux toilettes si besoin

    - Se laver les mains, vérifier si les manches sont sèches (présence de la stagiaire)

    - Se ranger sur la ligne bleue, en restant dans le couloir

     

     

    Cantine :

    - dire bonjour aux adultes présents

    - aider au service/débarrassage des repas

    - demander comment aider si besoin

    - dire au revoir aux adultes en sortant

     

    Sieste :

    - enlever le manteau/passer aux toilettes/lavage des mains/remettre le manteau

    - emporter son sac (contient changes, doudou et tétine)

    - se déplacer en file indienne jusqu’au dortoir

    - enlever ses chaussures, les poser sur les étagères

    - enlever son manteau et le mettre dans le sac cabas

    - se déshabiller en veillant à ce que les vêtements restent à l’endroit (tirer les pantalons par le bas, tirer les manches par leur extrémité) et les poser dans sa caisse

    - s’allonger sur son lit

     

    Sortie de fin de journée :

    - dire au revoir aux enfants

    - dire au revoir à tous les adultes de l’école

     

     

    Bon stage !

      • Dimanche 27 Décembre 2020 à 20:19

        merci pour le partage de ce document il est très intéressant et me donne un autre angle d’approche. j'envisageais une présentation sous l'angle du pourquoi et tu m'apportes un angle du comment. Les deux sont importants.

         

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